Selon le Wall Street Journal , les médiateurs des pourparlers et un responsable américain familier avec les dernières informations des services de renseignement américains ont estimé à seulement 50 le nombre d'otages encore en vie.
L’évaluation est basée en partie sur les renseignements israéliens, et si elle était vraie, cela signifierait que 66 des otages encore à Gaza pourraient être morts – soit 25 de plus que les 41 otages qu’Israël a publiquement reconnus comme morts.
Israël n’annonce pas la mort d’un otage tant que les renseignements, les analyses vidéo et les tests ADN n’ont pas confirmé les résultats.
Le bureau américain du directeur du renseignement national, le bureau du Premier ministre et Tsahal ont tous refusé de commenter au WSJ. Le Hamas n'a pas répondu aux demandes de commentaires, mais a admis par le passé qu'il ne savait pas exactement combien d'otages restaient en vie.
En février, le WSJ a rapporté que jusqu’à 50 des otages pourraient être morts, basant son rapport sur une évaluation israélienne partagée avec les États-Unis et l’Égypte. Beaucoup de ces Israéliens ont été tués le 7 octobre, mais d’autres sont morts ou ont été tués pendant leur captivité.
Bien qu'Israël ait toujours refusé d'échanger des terroristes condamnés vivants contre des cadavres lors de la première phase d'un accord d'échange de prisonniers, le WSJ a noté que dans sa dernière proposition au Hamas, Israël a cédé à sa demande d'otages vivants, acceptant d'accepter les cadavres dans leurs place.
Gabriel Attal
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