Le ministère des Affaires étrangères a publié mercredi une vidéo disant : « Reconnaître un État palestinien après les attentats du 7 octobre, le pire massacre de Juifs depuis la Shoah, équivaudrait à remettre un État islamique sur un plateau d'argent à Oussama ben Laden après les attentats de septembre.
La vidéo de 40 secondes montre des extraits d’images de terroristes du Hamas le 7 octobre, avec du texte superposé, expliquant pourquoi la reconnaissance d’un État palestinien n’est pas un moyen de promouvoir la paix.
La vidéo soutient que reconnaître un État palestinien « signifie récompenser le Hamas pour ses meurtres » et que la meilleure façon de promouvoir la paix est « par des négociations directes, et non par la récompense de la violence ».
La vidéo se termine en exhortant le monde à « faire pression sur le Hamas pour qu’il se rende et libère les otages ».À la fin : « Ne récompensez pas le Hamas, ne récompensez pas l'Iran. Dites non au terrorisme » apparaît en blanc sur fond noir.
Le ministre des Affaires étrangères Katz publie la vidéo sur X
Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz a publié la vidéo sur X, anciennement Twitter, citant la vidéo dans sa légende.
Recognizing a Palestinian State after October 7 means rewarding Hamas for murdering over 1,000 Israelis.
— ישראל כ”ץ Israel Katz (@Israel_katz) May 8, 2024
It means giving a prize to the Iranian Regime.
It means living with the possibility of another October 7.
The only way to promote peace is through direct… pic.twitter.com/DFRQiX91Vm
Cette vidéo a été publiée alors que les dirigeants des pays occidentaux appelaient à une solution à deux États, c’est-à-dire à la reconnaissance d’un État palestinien.
Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz a tagué une série de dirigeants mondiaux dans son tweet, notamment le secrétaire d'État américain Antony Blinken, le secrétaire d'État britannique David Cameron, la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock, la ministre japonaise des Affaires étrangères Kamikawa Yoko et plusieurs autres.
Gabriel Attal
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