Le Tribunal, qui siège dans la banlieue de La Haye, aux Pays-Bas, estime que rien ne prouve non plus une implication directe du gouvernement syrien dans cet attentat.
Rafik Hariri, ancien Premier ministre libanais, chef de file de la communauté sunnite, qui avait des liens étroits avec les Etats-Unis, des pays occidentaux et des alliés sunnites dans le Golfe, était considéré comme une menace pour l'influence de l'Iran et de la Syrie au Liban.
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