L'ancien otage franco-israélien, Ofer Calderon, se souvient des difficultés de la captivité à Gaza, décrivant le sentiment de desespoir quand il n'y a pas de négociations pour libérer les Israéliens détenus par le Hamas. « Je veux vraiment que l'accord soit maintenu, car qui sait mieux que moi ce que ressentent les gens là-bas en ce moment », a-t-il affirmé à la chaîne publique Kan lors d'une cérémonie de remise de médailles pour les cyclistes israéliens. « Quand il n’y a pas de dialogue, c’est un désastre », a poursuivi Ofer Calderon. « Les gens ont l’impression qu’ils sont en train de mourir et que la lumière dans le tunnel s’est éteinte. »
Gabriel Attal
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