Le géant américain de la messagerie instantanée WhatsApp a déclaré que NSO Group, une société de logiciels espions israélienne, avait exploité des serveurs aux Etats-Unis et avait aidé à pirater 1 400 comptes utilisateurs selon le quotidien britannique The Guardian. Les téléphones de hauts responsables du gouvernement, de journalistes et de militants des droits de l'homme ont été visés. Le tribunal indique que NSO a reçu un "accès non autorisé" aux serveurs WhatsApp et a échappé aux fonctionnalités de sécurité du service de messagerie.
Gabriel Attal
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.